L’objectif poursuivi est bien sûr l’indépendance. Même si le parti existe depuis un an, les citoyens pourront davantage le connaître dans le cadre de la campagne provinciale actuelle. Le pari propose une déclaration d’indépendance dès son élection et la création d’un État unilingue français.

Le chef du parti, Éric Tremblay, estime que pour le Parti Québécois (PQ) l’indépendance est un boulet qui l’empêche de prendre le pouvoir provincial. Pour le PI, la prise du pouvoir doit servir à déclarer l’indépendance. Pas de référendum donc, si le PI est élu, c’est l’indépendance.

Si le PI devait être élu, le chef Éric Tremblay affirme que son parti mettrait fin à tout financement public d’écoles et d’hôpitaux anglophones tout en s’engageant toutefois à offrir aux unilingues anglophones des soins dans leur langue.

Dossier immigration, le PI y mettrait un frein la ramenant à 20 000 et en sélectionnant les candidats sur leurs connaissances du français.

En ce qui a trait aux ressources naturelles, le PI propose une prise de contrôle nationale tant au niveau des forêts, des mines, du pétrole, du gaz, de l’eau et de l’éolien.